Si les faibles températures et les fortes bourrasques du week-end ont eu raison du spectacle "Comic Symphonic", elles n'ont pas pour autant gâché cette première édition des "Soirées de Saint Marc"...
Le vendredi soir (1er septembre), la troupe de l'Archicube a su braver le froid et donner une représentation de plusieurs piécettes de Courteline sous les applaudissements d'un public conquis par la mise en scène de Christophe Barbier, que plusieurs découvraient en comédien et homme de théâtre.
Le samedi soir (2 septembre), pour des raisons évidentes de sécurité, nous avons dû déprogrammer "Comic Symphonic" et mettre en place un "plan B". Le public n'a pas eu droit à Marc Jolivet accompagné des 40 musiciens de l'Orchestre du conservatoire d'Aix-en-Provence, dirigé par Jean Philippe Dambreville, il a toutefois eu le bonheur de voir un "Nous Président" avec Christophe Barbier et Marc Jolivet, que les deux compères avaient déjà joué et ont adapté pour l'occasion.
Marc Jolivet demande à son ami journaliste et chroniqueur Christophe Barbier de le coacher en vue de se présenter à l'élection présidentielle. Le journaliste amusé accepte. Bien qu'amis, mais à la personnalité diamétralement opposée, les deux compères n'ont de cesse de se critiquer en prenant continuellement le public à témoin.
Un changement de programme mis en œuvre en quelques heures, grâce notamment à la l'implication de tous les bénévoles et des équipes techniques d'Albert. Les deux comédiens se sont quant à eux entendus comme larrons en foire et ont enchainé caricatures politiques, imitations, danses et chants, avec notamment une inoubliable imitation des Blues Brothers. Une standing ovation a salué, comme il se doit, la performance.
Après avoir fait monter sur scène et remercié les bénévoles et tous les contributaires au succès de cet évènement, Georges Cintas -Président de l'Association Les Amis de Saint Marc Jaumegarde- a convié toute l'assemblée à un" after" des plus réussis.
A la clôture de cette première édition des Soirées de Saint Marc, nous étions tous dans le rythme de “everybody needs somebody”...